lundi 28 mars 2011

Le Messager choisit Le clan des femmes


"... Pour l'écrivaine, ce qui est important c'est la rencontre entre le lecteur et le livre... Une manière d'affirmer sa posture idéologique qui réfute tout discours militant ou féministe, qui refuse de tirer à boulets rouges sur les tares d'une époque révolue. Même si au demeurant l'idée de clanisme n'est mise en exergue nulle part dans les pages romancées et épicées d'une parturition qui mérite un arrêt. En tout cas, chaque lecteur se fera une religion. Seulement, quoiqu'on dise, cette production laisse penser à une histoire amusée, proche de notre quotidien avec des personnages qui pourraient se recruter dans la réalité, la vie familiale avec son cortège de rapports parfois houleux...
Pour son premier enfantement littéraire, Hemley Boum semble avoir fait un coup de maître, elle qui est passionnée de lecture. Nul doute que la somme des expériences puisées à travers moult textes épluchés avec une engeance gourmande aura été une des bases fondamentales d'une production romanesque qui fait abstraction du cadre spatio-temporel dans lequel les personnages se meuvent.  Au finish, "Le clan des femmes" est le reflet de la personnalité littéraire de Hemley Boum qui y a mis sa passion, son talent et son style".
Alain Njipo - Quotidien "Le Messager"


(Cliquer pour agrandir)

lundi 21 mars 2011

Présentation du "Clan des femmes" à Douala

(Pour visionner correctement cette vidéo qui comporte une bande son, n'oubliez pas de cliquer sur le bouton "Pause "du lecteur Deezer qui se trouve dans la colonne de droite de ce blog, afin de couper la musique d'ambiance).  

 

Merci à Mboa TV !

mardi 8 mars 2011

Journée de la Femme au Cameroun


"... En ce jour de 8 mars 2011 où nous célébrons la femme, le livre de Hemley est un appel à  reconnaitre la femme à sa juste valeur,  à la respecter et à mettre fin à tous les maux dont elle est victime. Ainsi, à travers son ouvrage, elle dit non aux mariages précoces, aux abus sexuels sur la petite fille, et surtout à ces tourments psychologiques infligés à celles-là qui ne peuvent pas procréer. Mais pour y parvenir, ces femmes doivent arrêter de pleurer sur leur sort et se battre par elles mêmes. C'est le message de Hemley Boum à ses sœurs, envoyé depuis Paris où elle vit."

Le Clan des Femmes au Cameroun




Après quelques mésaventures, je serai finalement à Douala du 7 au 13 mars 2011 pour y présenter Le Clan des femmes.
Je vous en parle bientôt !

mercredi 23 février 2011

Le Clan des Femmes : Séance de dédicace

Je serai à 
la librairie "La Bouteille à l'encre"
18 rue de Colombes
Courbevoie (92)
 
pour une séance de dédicace
le samedi 5 mars 2011
à partir de 10 heures.


Venez nombreux ! 


(Pour afficher le plan, cliquez sur le titre du billet)

mardi 22 février 2011

Liten li bassa aime Le Clan des femmes :)

©Litenlibassa.com


Liten : "Quel est le rôle de la littérature dans la transmission des valeurs de nos sociétés, quelles soient ancestrales ou contemporaines ?" 
H.B : "La littérature est là pour nous ouvrir des horizons. Romans, récits, essais, nous apprenons toujours un peu sur l’autre, sur nous-mêmes, sur le monde et sa poésie en lisant des livres. Il est essentiel que les auteurs s’expriment, quelque soit leur message, à eux de nous entrainer dans leur univers.
Les livres m’ont fait rire et pleurer, parfois les deux en même temps, ils m’ont appris et fait rêver. La littérature m’a permis de développer mon sens critique en même temps que mon imagination, elle m’a rendu la vie infiniment plus douce.
Je ne sais pas si je réponds à votre question, à mes yeux, la littérature est presqu’une valeur en soi."

Liten : "Alors d’après vous, la littérature ne saurait être limitée à un rôle de vecteur de tradition ?"
H.B : "La littérature ne saurait être limitée tout court. Elle est ouverture, et pas limites. Chaque auteur nous présente sa propre vision des choses.  Ce qui est important, et même merveilleux, c’est de lire un ouvrage qui ne parle ni de notre environnement immédiat, ni même de notre époque et de nous retrouver transporté grâce au talent de l’auteur. Apprendre, se laisser surprendre, s’indigner, être d’accord ou pas, se questionner, s’amuser tout simplement, se détendre…La littérature ne saurait être limitée, la perte serait trop importante. Même s’il est évident que, l’on n’aborde pas tous les livres avec les mêmes attentes, chaque livre est un voyage et on ne sait pas où nous entraine l’auteur avant le dernier mot du dernier chapitre...."


 (Pour en savoir plus, cliquez sur le titre du billet)

 

Une interview sur AFRICA N°1

©Africa N°1

Invitée par Eugénie Diecky pour son émission "Les matins d'Eugénie", en compagnie d'une autre auteure, nous avons pu débattre sur le thème "Quelle famille pour l'Afrique ?"


"Dans la plupart des sociétés occidentales, la monogamie est aujourd’hui la seule forme d’union entre un homme et une femme qui soit légalement acceptée. Quant à la polygamie, elle reste une pratique courante (mais, régulée) dans le monde musulman. Il faut, donc, conclure que, dans un cas comme dans l’autre, la norme sociale résulte d’une longue réflexion menée par des générations de penseurs sur leurs propres sociétés, sur l’utopie sociale, mais également sur le sacré, l’intangible..." (Africa N°1)


(Pour lire la suite, cliquez sur le titre du billet)

©Africa N°1